Livres sur les photographies de Robert DOISNEAU

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Un certain Robert Doisneau : La Très Périodique histoire d'un photographe racontée par lui-même
de Robert Doisneau (Photographies)

Présentation de l'éditeur
Des gamins turbulents rapportant la bouteille de lait matinal, d'autres qui font le poirier dans la rue, un baiser à l'hôtel de ville, des marchands de quatre-saisons, des riverains au balcon rue des Canettes, un vent d'automne dans le microclimat de la rue Royale, un carré de beloteurs, une rue pavée en dents de scie sous le ciel grisâtre de Vitry, des gens chics, des anonymes, des portraits de Picasso, de Jean Arp, de Tati... La photographie de Robert Doisneau se vit dans un plaisir toujours recommencé, dans une cueillette désordonnée d'images tel que l'illustre cet ouvrage commenté par l'artiste lui-même. Guidé par un réflexe de désobéissance, en quête "de lumière sauvage, toute faite de reflets, de contre-jours, qui, elle non plus, n'obéissait pas aux convenances de la lumière tamisée tout juste bonne à essuyer les plâtres des salles de dessin", le photographe, refusant toute catégorisation, s'est laissé aller au fourre-tout, au pot-pourri suivant ses humeurs. Des humeurs vagabondes, fantaisistes, un brin malicieuses, qui font la part belle à la poésie, avec une formidable légèreté et le secret espoir de déranger l'ordre établi.

Recueil d'environ 170 photos de l'illustre photographe, commentées et regroupées par thèmes: enfants, rue, bistrots, intérieurs garnis, gens chics, portraits, banlieues et faubourgs, album de famille. Certaines ont un parfum de nostalgie et la plupart portent la marque de la spontanéité. Dans la préface, réflexion du photographe sur son art.

Robert Doisneau
de Sylvain Roumette, Robert Doisneau (Photographies)

Présentation de l'éditeur
Photo Poche : cette collection a l'ambition d'offrir des livres de photographies soigneusement imprimés, maniables par leur format, accessibles par leur prix, à tous ceux que passionne un moyen d'expression dont on reconnaît l'importance. Si l'on veut en couvrir tous les champs, la photographie offre une matière inépuisable. Monographies, sujets historiques, thématiques ou techniques varient à l'infini une iconographie qui est restée jusqu'à présent inédite en livres de poche Poète des banlieues maussades et des petits riens anonymes, Robert Doisneau est ce parisien malicieux qui joue de la photographie comme son ami Prévert jouait des mots. Ce regard qu'il porte sur le quotidien avec une bienveillance amusée, cette disposition d'esprit qui le rend " amoureux de ce qu'il voit ", font de Doisneau l'archiviste des instants furtifs et des vérités passagères. " Il est des jours, dit-il, où l'on ressent le simple fait de voir comme un véritable bonheur ".

Robert Doisneau, 4ème édition
de Brigitte Ollier, Robert Doisneau (Photographies)

Photographies que Doisneau a réalisées sur Paris et sa banlieue durant les années 1940-1950.

Table des matières
- Autour de Paris, A pas de Loup
- La guerre
- Trafic
- Paris Travaille
- Les halles
- Marchés
- Dimanche
- Au bord de l'eau
- Vitrines et passages
- Paris retraversé
- Banlieue

Les grandes vacances
de Doisneau, Pennac

Présentation de l'éditeur
Robert Doisneau change de complice. Après Cavanna, c'est Daniel Pennac, l'auteur de La Fée Carabine, de Au bonheur des ogres et de La Petite Marchande de prose. Une fois encore, l'humour rassemble deux hommes sensibles à la saveur d'un certain milieu social : celui des banlieusards et de leurs enfants. Mais cette fois, l'école est finie et le travail aussi. Il s'agit de s'évader, de partir à la campagne, de découvrir la mer, de monter à bicyclette ou d'essayer un canoë. De la fin des années 30 aux années 60, la France traverse l'âge d'or des filets à crevettes prêts pour l'action dès la gare Montparnasse, des valises sur la tête, des bouées autour du cou et des skis que l'on garde avec soi dans sa couchette de train. Et Doisneau réussit sur ce sujet la grande prouesse d'un " album de famille " dans lequel chacun peut se reconnaître et retrouver propres souvenirs.

Doisneau 40-44
de Pascal Ory, Robert Doisneau (Photographies)

Quatrième de couverture
Il y a bien des manières de donner à voir les années noires. Celle de Robert Doisneau évite le pathos, pour nous parler simplement du grand vide de l'Occupation, de ses rues sans automobile, de ses étalages de pénurie, remplis seulement du maître mot de Vichy : «Factice». Sensible au cocasse jusque dans les situations les plus pénibles, l'oeil de Doisneau repère les astuces ou les incongruités du système D, tel cet homme qui a transformé son poêle en clapier, ou cette Parisienne faisant prendre l'air à sa poule dans un jardin public. Et quand il montre l'héroïsme, il fait son choix : des typographes résistants, une amie de Vercors qui broche le premier exemplaire du Silence de la mer dans sa cuisine, des combattants anonymes de la Libération. Mais qu'on y prenne garde : la mort est là aussi, comme jamais chez lui, dans les alertes aériennes ou les fusillades de rue. Et ceux-là mêmes qui ont fait la queue devant les boulangeries vont, au mois d'août 44, faire la chaîne pour édifier une barricade. L'objectif saisir des bicyclettes ou des cyclopousses, mais aussi des fusils et des cocktails Molotov.

La Vie de famille
de Doisneau, Pennac

Présentation de l'éditeur
Entre les années 50 et les années 60, Doisneau a photographié ce qui paraît impossible à photographier : les sentiments, le désir de bonheur, l'exultation de former une famille unie. Les petits chenapans aux doigts pleins d'encre, nous les voyons cette fois chez papa et maman, entre frères et sueurs, dans leurs efforts attendrissants pour mettre le couvert tout en rêvant au terrain vague. Tout commence par un mariage au rythme de la danse du tapis. On est joyeux mais pudique. On sait qu'une vie ordinaire promet à des jeunes mariés de grands instants de vie. Le bonheur, c'est d'avoir des enfants. Les landaus sont plus nombreux que les automobiles. La télévision n'existe pour ainsi dire pas et le soir plusieurs générations - crise du logement oblige - se retrouvent pour dîner autour de la table. La vie de famille est belle. Daniel Pennac puise ici son humour aux mêmes souvenirs. L'écrivain n'a pas oublié que le buffet Henri II était " le personnage le plus important de la famille ". Le landau " était à la poussette pliable ce. que le char à bœufs fut à la voiture de sport ". Pennac apporte au livre le ton inimitable des dialogues qui valent aujourd'hui la célébrité aux personnages de ses romans. Doisneau-Pennac une rencontre qui est un grand moment de joie et une note de

Robert Doisneau. Travailleurs
de Jean-Yves Quierry

Présentation de l'éditeur
"... Qu'on se souvienne : de 1934 à 1939 ; Robert Doisneau est photographe industriel aux usines Renault de Boulogne-Billancourt... On sait aussi qu'à l'occasion de certains reportages pour le magazine de la CGT, la Vie Ouvrière, Doisneau était introduit secrètement par les militants dans les usines, les ateliers et les mines pour rendre compte des conditions de travail. Dans l'enfer de ces travailleurs, on est loin du Robert Doisneau populaire connu et reconnu pour son Baiser de l'Hôtel de ville... C'est toute la valeur de cet album, à travers une centaine d'images, de découvrir un Robert Doisneau du côté social, dès l'entre-deux-guerres, l'objectif tourné vers les milieux ouvriers, les solitaires à la marge, les petits de ce monde, les oubliés sans scrupule, les fauchés d'une génération l'autre... "

Biographie de l'auteur
Robert Doisneau est né en 1912 à Gentilly. Il apprend à 15 ans le métier de graveur-lithographe à l'école Estienne et entre dans la vie active en dessinant des étiquettes pharmaceutiques. C'est chez André Vigneau, dont il devient le jeune opérateur photo en 1931, qu'il découvre le monde de la création artistique qui l'animera désormais. Quatre années au service publicité des usines Renault, soldées par un licenciement pour retards répétés, lui permettent d'accéder au statut convoité de photographe indépendant. La guerre éclate alors mettant un frein brutal à ses projets. Dans l'euphorie des années d'après-guerre, bien qu'il soit quotidiennement soumis à la commande, il accumule les images qui feront son succès, circulant obstinément " là où il n'y a rien à voir ", privilégiant les moments furtifs, les bonheurs minuscules éclairés par les rayons du soleil sur le bitume des villes. Quand il meurt, en avril 1994, il laisse derrière lui quelque 400 000 négatifs qui racontent son époque avec un amusement tendre et bienveillant qui ne doit toutefois pas masquer la profondeur de la réflexion, la réelle insolence face au pouvoir et à l'autorité et l'irréductible esprit d'indépendance. Aujourd'hui, une question reste posée : a-t-il vraiment, comme il le pensait lui même, " tout photographié " ? Jean-Yves Quierry : C'est en réalisant la maquette de Doisneau en Limousin, publié en 1999 aux Éditions Culture et Patrimoine, que l'idée lui est venue d'explorer les archives moins connues du grand photographe humaniste. À travers toutes les régions de France, il a suivi son itinéraire social et solidaire de ces " Travailleurs " dont il a été également le Directeur artistique. Jean-Claude Renard a publié son deuxième roman, Marcello, en 2002, chez Fayard. Journaliste à Politis et au Magazine littéraire, il rend compte tour à tour de littérature, de photographie, de justice et d'art de vivre. Sa passion pour la gastronomie lui a inspiré un essai, La Grande casserole, publié également chez Fayard en 2002.

Les révoltés du Merveilleux
de Charles Soubeyran, Robert Doisneau (Photographies), Gilles Ehrmann (Photographies)

Présentation de l'éditeur
Ceux que Doisneau nomme les " bâtisseurs chimériques ", Ehrmann les " inspirés ", sont baptisés les " révoltés du Merveilleux " par Charles Soubeyran - qui a repéré une vingtaine de ces excentriques de l'art dans l'œuvre des deux photographes (qui se sont du reste rencontrés sur cinq d'entre eux, le facteur Cheval et Gaston Chaissac notamment). Ces irréguliers, " insoucieux du qu'en dira-t-on, choisissant leurs matériaux sans référence aux canons esthétiques de leur époque, qui ont construit leurs œuvres
en totale liberté ", ces artistes loin de toute correction esthétique, ces marginaux individualistes, représentants inconscients d'un véritable art populaire, ont naturellement passionné Ehrmann et Doisneau qui ont, par la photographie, donné une postérité à des originaux dont les œuvres déroutantes, faites de singularité et d'étrangeté, sont fatalement vouées à disparaître. Le mérite de Charles Soubeyran est, non seulement d'avoir réuni ces archives croisées, mais encore de les présenter assorties de divers documents d'époque qui contribuent à donner sens à des pratiques créatrices qui sont le plus souvent considérées avec indifférence sinon dédain.

Doisneau chez les Joliot-Curie : Un photographe au pays des physiciens
de Robert Doisneau, Michel Pinault, Collectif , Daniel Thoulouze (Préface)

Présentation de l'éditeur
1942. L'éditeur Maximilien Vox prépare un ouvrage de prestige sur l'excellence française. Pour illustrer la perfection scientifique, il veut présenter les chercheurs les plus en vue de l'époque, les physiciens Irène et Frédéric Joliot-Curie, lauréats du prix Nobel en 1935. Il fait alors appel à un jeune photographe, Robert Doisneau, pour immortaliser les appareillages sur lesquels les scientifiques travaillent dans leurs laboratoires. Les clichés montrent les impressionnants instruments témoins des débuts de la " Big Science ". Aujourd'hui, ces laboratoires sont en cours de démantèlement et les instruments sont souvent détruits et dispersés, à de rares exceptions. Dans le cadre de sa mission pour la préservation du patrimoine scientifique contemporain, le Musée des arts et métiers a réuni, de manière exceptionnelle, les prémices d'une science nouvelle et des clichés inconnus de Doisneau. Ce catalogue propose un regard croisé inédit entre l'objectif de Robert Doisneau et un univers proche de la science-fiction.

 

La Transhumance de Robert Doisneau

Les magnifiques photographies de ces longs cortèges de bêtes sont accompagnées de commentaires du photographe tirés d'entretiens avec lui et de son carnet de route publié intégralement.

Doisneau Paris
de Robert Doisneau


Robert doisneau
de Robert Doisneau
Mariage de Paul et Odette
de Jean-Marc Paty, Robert Doisneau (Photographies)
La Banlieue de Paris
de Blaise Cendrars, Robert Doisneau (Photographies)
Les doigts pleins d'encre
de Robert Doisneau, François Cavanna
Doisneau : la fête, coffret (20 planches)
de Edith Piaf, Claude Nougaro, Léo Ferré, Collectif , Robert Doisneau (Photographies)
J'attends toujours le printemps
de Robert Doisneau

Le Vin des rues
de Robert Giraud, Robert Doisneau (Photographies)

Documentaire sur un Paris particulier, nocturne et clochard, à la façon des promenades de Fargue ou de Restif de La Bretonne. Reprise avec photos du texte publié en 1955.

 

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